SAINTE-ANNE DE VARENNES

En 1692, l’évêque de Québec, Mgr de Saint-Vallier, fonde la paroisse de Sainte-Anne de Varennes qui regroupe cinq seigneuries : le du Cap de Varennes, l’île Sainte-Thérèse, Grandmaison, le Cap-de-la-Trinité et le Cap Saint-Michel. 

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Varennes is an off-island suburb of Montreal, in southwestern Quebec, Canada, on the Saint Lawrence River in the Marguerite-D'Youville Regional County Municipality. The city is approximately 24 kilometres (15 mi) from Downtown Montreal. The population as of the Canada 2011 Census was 20,994. In 2015, the population was listed at 24,000 

The history of Varennes starts with the arrival of the Régiment de Carignan-Salières in New France. René Gaultier, sieur de Varennes, was given three concessions by intendant Jean Talon in 1672, le Tremblay, la Gabelle and Varennes. Jaques-René, one of his sons, was the second seigneur of Varennes. Five seignories later composed the Varennes parish. They were the seignories du Cap de Varennes, de l'île Sainte Thérese, de Grand Maison, du Cap de la trinité and du Cap Saint-Michel. The town was captured by the British in 1760 during the Montreal Campaign. It was part of the Province of Quebec (1763–1791), then of Lower Canada, before it returned to being part of Quebec again in 1867 due to the Canadian Confederation.

Varennes gained the status of a city in 1972.

Varennes est une municipalité du Québec située dans la MRC de Marguerite-D'Youville, en Montérégie.

Selon le classement 2019 dévoilé par l'Indice relatif de bonheur (IRB), Varennes est la ville la plus heureuse du Québec.

Varennes is a municipality in Quebec located in the MRC of Marguerite-D'Youville, in Montérégie.

According to the 2019 Relative Happiness Index (IRB) ranking, Varennes is the happiest city in Quebec.


La municipalité est située dans le bassin versant de la rivière Richelieu. En plus du fleuve Saint-Laurent et ses chenaux, Varennes est arrosé par quelques cours d'eau mineurs dont la rivière Saint-Charles et une dizaine de ruisseaux. On n'y retrouve aucun plan d'eau notable.

The municipality is located in the watershed of the Richelieu River5. In addition to the Saint-Laurent River and its channels, Varennes is watered by a few minor rivers, including the Saint-Charles River and around ten streams. There is no notable body of water there.

L'histoire de Varennes commence avec l'arrivée du régiment de Carignan-Salières. René Gaultier, sieur de Varennes, le grand-père de sainte Marguerite d'Youville et le père de Pierre Gaultier de Varennes, reçoit deux concessions de la part du grand intendant Jean Talon.

Jacques René, le fils de René Gaultier fut le 2e seigneur de Varennes. Cinq seigneuries formèrent plus tard ce qui devint la paroisse de Varennes soit, d'ouest en est, les seigneuries du Cap de Varennes, du Cap de la trinité et du Cap Saint-Michel, de Grand Maison et l'île Sainte-Thérèse dans le fleuve Saint-Laurent.

La ville fut conquise par les Britanniques pendant la guerre de Sept Ans, fit partie de la Province of Québec puis du Bas-Canada jusqu'en 1867, date de la création de la confédération canadienne.

En 1837, Louis-Joseph Papineau, faisant l'objet d'un mandat d'arrêt pour haute trahison en raison de ses activités patriotiques trouve refuge à Varennes avant de s'exiler aux États-Unis.

Au milieu du xixe siècle, Varennes était connue comme une station balnéaire. On y retrouvait un hôtel et différentes installations de villégiature. Les Sœurs grises y avaient aussi un hospice. Deux sources d'eau salée émergeaient près de ces installations. À partir de la fin du xixe siècle jusqu'au début des années 1970, industrie La Saline qui appartenait à la compagnie Montréalaise Gurd, embouteilla l’eau salée d’une de ces sources qu’elle distribuait sous le nom « Vée de Vée », qui rappelle les initiales de la ville de Varennes. Cette source avait un débit de 2000 à 3000 gallons à l’heure. La seconde source dégageait une grande quantité d’hydrogène carburé. Ce gaz était utilisé pour éclairer une maison avoisinante.

Le 14 juin 1892, une violente tornade balaie le village, détruisant plusieurs maisons de la Montée de Picardie et la Butte-aux-Renards, ruinant ainsi plusieurs familles qui quittèrent par la suite le village.

Au cours des années 1940, durant les beaux jours d'été, la plage Choquette de l'Île Ste-Thérèse était fréquentée par des montréalais qui venaient par bateau. En 1950, le syndicaliste Michel Chartrand installe sa famille dans une modeste demeure sise au 135-A de la rue Ste-Anne. À cette époque, Michel Chartrand est très actifs au sein de mouvements syndicaux. En 1969, l'institut de recherche scientifique INRS - Énergie et Matériaux s'implante à Varennes. Elle entraînera l'arrivée de nombreuses autres entreprises et instituts liés au domaine de l'énergie. CANMET, l'Institut de recherche d'Hydro-Québec (IREQ) et ABB en sont des exemples. Varennes représente maintenant un important pôle d'innovation en technologique énergétique en Amérique du Nord.

Au début de l’année 2019, plus précisément le 23 février, la liste des municipalités dans laquelle les gens se disait le plus heureux a été dévoilé au grand public. Varennes fut alors déclaré la ville du bonheur au Québec.

Chronologie d'événements

https://fr.wikipedia.org/wiki/Varennes_(Qu%C3%A9bec)

Basilique Sainte-Anne de Varennes

Sainte-Anne de Varennes Basilica

Diocèse de Saint-Jean-Longueuil

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Sainte-Anne de Varennes Basilica (French: Basilique Sainte-Anne-de-Varennes) is a Roman Catholic minor basilica dedicated to Saint Anne in Varennes, Quebec, Canada. The basilica is under the circumscription of the Roman Catholic Diocese of Saint-Jean-Longueuil. The basilica was decreed on June 18, 1993.

La basilique Sainte-Anne de Varennes est une basilique catholique située dans la ville canadienne de Varennes et la paroisse du même nom, sur la rive-sud de Montréal. Elle est nommée en l'honneur de sainte Anne, sainte patronne de la province de Québec et mère de la Vierge Marie. 

Elle fut construite de 1884 à 1887 par les architectes Albert Mesnard et Henri-Maurice Perrault. L'église comporte plusieurs références à l'art roman et à l'art gothique. Des œuvres à l'intérieur ont été réalisées par Guido Nincheri, Félix Mesnard et Antoine Durenne.

L'édifice remplace une vieille église paroissiale érigée par Jean-Baptiste de La Croix de Chevrières de Saint-Vallier en 1692, un deuxième édifice construit en 1718 modelé sur l'ancienne église du Cap-de-la-Madeleine et une troisième église construite en 1780 sur le modèle de la paroisse de Sainte-Famille.

La basilique est un lieu à la dévotion de sainte Marguerite d'Youville. Deux chapelles, l'une dédiée à sainte Anne et l'autre à saint Joachim, sont situées proche de l'église. Elle possède en outre un orgue Casavant d'esthétique néo-classique agrandi en 2007 par Levesque-Roussin et une statue à sainte Anne. Elle reçut le titre basilical sous l'épiscopat de Bernard Hubert en 1994 par l'envoi d'un bref de Jean-Paul II. Depuis le 8 décembre 2010, les restes de sainte Marguerite d'Youville reposent dans le tombeau du transept de la basilique.

In the middle of the video (4 minutes) you will see another church.

Sainte Marguerite d'Youville

Sainte-Anne de Varennes Basilica in front 

and 


Church of the Holy Family / Église de la Sainte-Famille

Boucherville is a city in the Montérégie region in Quebec, Canada. It is a suburb of Montreal on the South shore of the Saint Lawrence River.

Boucherville is part of both the urban agglomeration of Longueuil and the Montreal Metropolitan Community regional government.

Boucherville was founded as a seigneurial parish in 1667 by Pierre Boucher, for whom the city was later named. Pierre Boucher came from Mortagne-au-Perche, Normandy, France. After living in Quebec City and Trois-Rivières, Boucher moved to the Percées Islands by the southern shores of the Saint Lawrence River, where he founded Boucherville.

The first Catholic church in the village of Boucherville was built in 1670. This church, made of wood, was eventually replaced in 1712 by a building made of brick. It was replaced in 1801 by the current Sainte-Famille Church.

Several families left Boucherville in the 18th century to found the communities of Sainte-Julie and Saint-Bruno-de-Montarville.